Sylvie est fille d’expatriés arrivés en France à l’âge de 21 ans pour le travail., et c’est Monsieur qui a suivi Madame !
Une première circonstance qui donne du sens à son projet. L’histoire de son nom est assez surprenante… Pregevole. En Italien, « Prédgévolé » (phonétiquement) signifie : Précieux, qui a de la valeur. Et pour Sylvie, la retraite et une vie de travail : c’est tout simplement Précieux.
C’est donc l’histoire d’une femme née d’un nom précieux et de parents expatriés … et qui, dans le cadre de ses fonctions, depuis 2000 ne s’occupe que de clientèle non résidente, étrangère et expatriés. Quand Maison Pregevole-1968 prend naissance, le nom s’imposait
Le projet est né en 2009, à Doha au Qatar lors d’un voyage où Sylvie rencontre des femmes expatriées. L’une d’elle lui dit « Sylvie, pourquoi vous ne consacrez pas votre métier à nous conseiller ? nous les femmes expatriées, car personne ne s’occupe de nous ? ». Cette femme avait semé une graine qui n’a pas cessé de germer… Ont suivi, deux directions d’agences bancaires patrimoniales et tournées vers l’international : à Nice, puis à Chamonix. Le projet de création de cabinet pour expats ne faisait que se préciser.
Suite à une mutation, et arrivée à Lyon, le déclic : encore des femmes expatriées rentrant d’expatriation et qui se trouvaient dans des situations préoccupantes. Elles avaient démissionné pour suivre leur conjoint à l’étranger, 5 ans… 10 ans…15 ans se sont écoulés et le divorce ne les avait pas épargnées.
Une situation qui les avait contraintes à rentrer en France avec leurs enfants (nouvelle expatriation pour elles). Lors de la simple projection retraite, elles allaient toucher 600€ pour partir à 72 ans à la retraite. « Sylvie, si nous avions eu vos conseils avant notre départ, bien sûr nous aurions pris des dispositions patrimoniales, épargne, retraite, et protection du conjoint.. »